Victime d'un manipulateur ?
Comment reconnaître un manipulateur : Faites le test maintenant !
Ci-dessous je vais vous donner une liste de 13 comportements qui nuisent à notre persévérance…
Si vous suivez mon blog régulièrement, alors c’est que, pour une raison ou une autre, vous aimeriez améliorer vos relations.
Vous aimeriez peut-être réussir à dire non plus souvent.
Ou vous avez peut-être le rêve de suivre votre propre chemin… sans vous soucier des autres… et sans être influencé par leur avis.
Et vous avez déjà essayé d’améliorer la situation…
Malheureusement, vous vous êtes heurté à des problèmes… Vous avez essuyé des échecs… Et vous avez fini par abandonner.
En tous les cas, suite à différents échecs que vous avez vécus dans votre vie, vous manquez aujourd’hui de confiance en vous, vous avez une faible estime de vous-même, et vous avez de nombreux doutes…
Vous doutez par exemple de vos capacités et de vos compétences dans un domaine particulier, ou dans la vie en général.
D’ailleurs, peut-être que le regard et les remarques de votre entourage aggravent les choses. Un de vos proches a peut-être l’habitude de vous dévaloriser, ou de vous culpabiliser, ce qui vous pourrit la vie.
Et souvent vous avez l’impression d’être nul, et que vous n’arriverez à rien dans la vie.
Si c’est votre cas, alors laissez-moi vous citer Thomas Edison :
Je n’ai pas échoué.
J’ai trouvé 10 000 façons de faire qui ne marchent pas.
Cette citation me rappelle les jeux de puzzle.
Comme vous le savez, le principe des jeux de puzzle, c’est de chercher la pièce qui pourrait aller à l’emplacement qu’on a repéré. Quand on pense avoir sous la main la bonne pièce, on l’essaie…
Soit c’est la bonne pièce, et dans ce cas on garde la pièce puis on recommence avec un autre emplacement.
Soit c’est la mauvaise pièce, et dans ce cas on met cette pièce de côté, et on en recherche une autre qu’on essayera ensuite.
Comme je viens de le dire, dans le jeu de puzzle, chaque pièce inadaptée peut être mise de côté.
Cela veut donc dire qu’à chaque pièce inadaptée, on élimine une possibilité.
Nous pouvons donc en tirer deux conclusions :
– Chaque « échec » nous fait avancer ; En effet, nous apprenons quelque chose de cet échec : nous apprenons que la solution essayée ne fonctionne pas, et que nous devons en essayer une autre…
– A force d’échouer, et à force d’éliminer toutes les possibilités, nous sommes sûrs de finir par tomber sur la solution. (A condition que votre problème ait une solution, bien sûr)
Si je reprends l’exemple d’Edison, cet inventeur a fait 10 000 essais avant de créer son ampoule électrique. (il aurait testé 6000 substances végétales pour faire office de filament).
Auriez-vous eu la persévérance (et la foi) d’Edison ?
Au bout de combien d’essais auriez-vous baissé les bras ?
Revenons à votre envie de réussir.
Ma première question est simple : savez-vous CLAIREMENT ce que vous aimeriez réussir ?
Cette question peut vous paraître bête, mais c’est à cette première question que beaucoup de personnes échouent : elles ne savent pas clairement ce qu’elles veulent.
Comment atteindre son but quand on ne connaît pas bien son but ?
Quand vous aurez la réponse à cette question, et que vous saurez CONCRÈTEMENT ce que vous voulez, alors vous devrez ensuite réfléchir à COMMENT réussir votre projet.
Puis il vous faudra AGIR.
Vous échouerez probablement, et vous devrez recommencer… Dix mille fois s’il le faut, comme Thomas Edison.
Avez-vous appris à marcher en une seule fois ? Vous êtes-vous mis debout un beau jour, puis fait 10m sans tomber ? Je ne pense pas… Je pense plutôt que vous y êtes allé étapes par étapes, sous les encouragements des grandes-personnes…
Avez-vous appris à faire du vélo en une seule fois ? Je ne pense pas non plus…
Avez-vous appris à parler en une seule journée ? Non ? Alors, pourquoi en serait-il autrement pour tous les « grands » projets que vous entreprenez ?
Le problème de beaucoup de personnes, j’en suis convaincu, c’est qu’elles ne persévèrent pas assez suite à un échec.
De leur échec, elles déduisent tout de suite qu’elles sont nulles ou incompétentes. En réalité, leurs compétences n’y sont pour rien. C’est juste qu’elles n’ont pas assez persévéré.
Leur erreur, c’est de vivre cet échec comme un échec définitif… Alors qu’au fond, cet échec est juste un premier échec parmi beaucoup d’autres.
Ces personnes devront affronter d’autres échecs, mais c’est tout à fait normal, et (bonne nouvelle) le succès est au bout !
Si par exemple Vincent déteste son emploi, alors c’est d’abord à lui de voir comment il peut changer les choses… (au lieu de critiquer son emploi, son chef, ou encore ses collègues)
Vincent doit réfléchir aux causes de son mal-être. Son mal-être est-il lié à sa représentation personnelle des choses ?
Ou bien, son mal-être est-il lié à ses relations avec ses collègues ? Dans ce cas il doit réfléchir à un moyen d’améliorer les relations…
Il pourrait par exemple améliorer la communication entre eux. Il devra essayer une première solution, puis une deuxième solution, jusqu’à arriver à un résultat satisfaisant.
Si toutes ses tentatives ne suffisent pas, il peut aussi changer d’entreprise. Si ce n’est toujours pas mieux, il peut encore changer !
Si ça ne va toujours pas, il peut monter sa propre boîte !
Ce que j’écris vous choque peut-être…
Vous trouvez ça abusé de devoir changer d’entreprise quand ça se passe mal avec ses collègues ?
Peut-être, mais comme je l’ai dit, il faut savoir ce que l’on veut. Si Vincent préfère rester dans sa boîte et aller au travail tous les matins avec la boule au ventre, c’est son choix…
« Oui, mais c’est la crise. »
Et alors ?
La crise rend les choses plus difficiles, mais pas impossibles.
La crise, c’est une excuse.
La crise nous fait peur. Voilà tout.
Mais elle n’est pas insurmontable, à partir du moment où on s’attaque (vraiment) au problème. Encore une fois, il ne faudra pas que Vincent baisse les bras dès son premier échec à un entretien d’embauche…
Et il faudra certainement que Vincent réfléchisse à la façon de valoriser son profil, pour que celui-ci soit UNIQUE (et indispensable) sur le marché de l’emploi…
Je viens d’illustrer mes propos par un exemple professionnel.
Prenons maintenant l’exemple d’un couple.
Si vous êtes comme Fadila et que vous souffrez de la relation avec votre conjoint, alors essayez plusieurs solutions, vous-aussi : cherchez à mieux communiquer, exprimez vos idées clairement, donnez votre avis, cessez les sous-entendus, cessez d’utiliser la culpabilité ou l’anxiété pour obtenir ce que vous voulez, etc.
Au début, c’est difficile de changer ses habitudes : « Chassez le naturel, il revient au galop. »
Alors persévérez !
On ne peut pas changer du jour au lendemain. Apprenez de vos échecs. Regardez ce qui n’a pas marché, essayez autre chose.
Attention cependant.
Certains de mes lecteurs souffrent d’une relation avec un « pervers narcissique ».
Le pervers narcissique est un manipulateur de type malveillant. (Connaissez-vous un manipulateur ? Faites le test tout de suite en cliquant ici…)
Si c’est votre cas, je vous conseille de garder en tête ce conseil : il n’y a pas de communication idéale ni de réel changement avec ce type de personnalité.
C’est la conclusion que je tire de mes lectures et des témoignages qui me sont envoyés via ce site.
Dans ce genre de situation, la solution (en dehors de la rupture) c’est d’apprendre à contre-manipuler, et à se libérer de l’emprise du pervers narcissique.
(Je vous y aide à travers mon site et mes formations)
Ce sera dur, il faudra persévérer…
Alors, pour vous aider à persévérer, je vous donne la liste de 13 comportements qui nous font abandonner.
Lisez et retenez ces 13 comportements, cela vous aidera à persévérer dans vos projets.
Et retenez bien que le succès se rencontre au bout de nombreux échecs. Rarement vous le trouverez avant…
Les 13 comportements qui tuent notre persévérance sont les suivants :
NB : Vous trouverez une fiche récapitulative en fin d’article (fiche imprimable)…
– Nous ne savons pas clairement ce que nous voulons…
– Nos désirs manquent de force… Nous souhaitons au lieu de vouloir…
– Nous manquons d’ambitions (ambition d’être comme ceci, d’agir comme cela, de posséder cela)…
– Nous hésitons et nous nous trouvons des excuses (voir cet article sur 24 excuses courantes)…
– Nous sommes indécis et laissons les autres prendre les décisions à notre place…
– Nous avons peur des critiques et de ce que les gens vont penser… (voir cet article sur la peur d’être critiqué)
– Nous ne faisons pas de plans précis pour résoudre nos problèmes, au lieu de cela nous nous trouvons des excuses… (voir cet article sur 24 excuses courantes)
– Nous traitons les circonstances défavorables comme si elles étaient inévitables (« Je ne peux pas trouver de travail, c’est la crise. »)…
– Nous cherchons un consensus là où il faudrait affronter et franchir l’obstacle…
– Nous cherchons à abandonner au premier signe de défaite…
– Nous ne saisissons pas les opportunités…
– Nous critiquons les autres (« Comme je pourrais y arriver avec une andouille pareille ! »)…
– Nous sommes contents de nous et refusons de voir l’échec… (Je conseille de voir l’échec comme une ÉTAPE, mais pas de nier son EXISTENCE elle-même…)
(Téléchargez la fiche récapitulative au bas de cet article)
Avez-vous reconnu certains de vos comportements ?
Si c’est le cas, alors maintenant vous savez un peu mieux ce que vous pouvez améliorer dans vos habitudes…
Ainsi vous gagnerez en persévérance et atteindrez plus souvent le succès dans vos projets !
Pour vous souvenir de cette liste, j’ai créé une fiche récapitulative que vous pourrez imprimer et consulter chez vous.
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