Victime d'un manipulateur ?
Comment reconnaître un manipulateur : Faites le test maintenant !
Si vous ne réussissez pas à dire « non » devant une personne en particulier (alors que vous n’avez pas de mal à vous affirmer devant les autres personnes), c’est peut-être parce que cette personne est une « personne toxique »…
Dans les lignes qui suivent je vais expliquer comment les personnes toxiques réussissent à nous déstabiliser au point de prendre l’ascendant sur nous…
Mais juste avant je vous propose de faire le point sur votre situation.
À la base, vous êtes certainement une personne équilibrée, qui se sent (ou se sentait) bien dans sa peau et qui n’a pas de difficulté particulière à dire « non ».
Puis vous avez fait la connaissance de cette personne, et vous vous êtes retrouvé en contact régulier avec elle : il peut s’agir d’un ami, d’un compagnon, d’un collègue ou encore d’un chef…
Ce qu’il s’est passé alors, c’est que vous avez eu de plus en plus de mal à vous défendre face aux remarques, aux questions, aux demandes, ou encore aux attaques de cette personne.
Petit à petit, vous avez eu l’impression de vous faire « bouffer »…
Aujourd’hui cette relation a peut-être une incidence sur votre santé et sur votre enthousiasme.
Par exemple, vous avez du mal à trouver le sommeil, et vous dormez moins bien…
Si cette personne est un collègue ou un chef, alors vous ressentez probablement moins de plaisir au travail.
Cette relation se durcit de plus en plus, et vous vous sentez piégé. Vous ne comprenez pas ce qu’il se passe :
Vous aimeriez mettre des limites, vous aimeriez dire « non », vous aimeriez trouver une position juste dans cette relation… mais vous n’y arrivez pas…
Ce qui vous guette (si ce n’est pas déjà le cas), c’est une perte de confiance en soi, et une perte d’estime de soi…
Dans les lignes suivantes je vais vous aider à comprendre la situation…
Vous allez voir, cette personne toxique a réussi à vous mettre sous son emprise en utilisant trois ressorts. Ce sont ces trois ressorts qui bloquent généralement les personnes qui aimeraient dire « non » sans y arriver.
L’utilisation de ces trois ressorts est parfois très subtile, ce qui rend la « manœuvre » indétectable quand on n’est pas averti…
Cette personne toxique réussit à prendre l’ascendant sur vous par de « petites choses »… Pourtant ces petites choses ont des conséquences énormes, puisque ce sont elles qui vous conduisent à accepter le comportement de cette personne toxique…
Alors à ce sujet j’aimerais citer Bruce Barton, qui était un homme politique américain. Bruce Barton disait :
Lorsque je vois les conséquences formidables
Qu’ont les petites choses de la vie…
Je suis tenté de penser…
Que ce ne sont pas là de si petites choses.
La personne toxique vous a donc piégé. Vous vous sentez réduit devant elle, vous vous sentez écrasé, vous avez l’impression d’être bloqué, figé, de ne pas réussir à faire ce que vous voudriez. Vos limites, c’est cette personne toxique qui les fixe…
C’est pour cela que les trois ressorts que la personne toxique utilise, je les appelle les « ressorts CAP ».
Pourquoi ce nom ?
Si vous avez déjà demandé un prêt à une banque, vous savez que celle-ci peut vous proposer un « cap » sur votre taux d’intérêt variable. Cela signifie que même si votre taux d’intérêt varie dans les prochaines années (varier à la hausse comme à la baisse), il ne montera et ne descendra jamais au dessus ou au dessous de certaines limites. Avec un « cap », votre taux d’intérêt est BORNÉ, LIMITÉ, CONTRÔLÉ...
Si je parle de « CAP », c’est aussi par référence aux quatre romans « The Tripods » écrits par John Christopher…
Si par hasard vous avez déjà lu ces romans en anglais, alors vous vous souvenez sans doute que les « Tripods » (extraterrestres) enlèvent les adolescents terriens pour leur mettre un « CAP » sur la tête (une « coiffe » en anglais…)
Cette cérémonie s’appelle le « Capping » et quand les Tripods rendent ensuite les adolescents à leurs parents, ces adolescents sont devenus des « Capped » : ils ont une espèce de triangle métallique sur la tête qui permet de les rendre dociles, de les obliger à se soumettre, de les contrôler, et d’éviter ainsi toute rébellion des humains contre les Tripods…
Ce « CAP » permet de garder l’ascendant sur les humains ; il permet de les dominer.
Eh bien les personnes toxiques, à l’image de ces Tripods imaginés par John Christopher, réussissent eux aussi à contrôler notre esprit à l’aide d’un CAP.
La différence, c’est juste que le CAP des personnes toxiques n’est pas un appareil, mais un simple comportement, bien particulier…
Le comportement des personnes toxiques est basé sur trois piliers : la Culpabilité, l’Affectif, et le Pouvoir…
Vous voyez, les trois piliers « Culpabilité-Affectif-Pouvoir » forment l’acronyme « C-A-P »…
Juste avant de détailler le CAP des personnes toxiques, j’aimerais qu’on voit pourquoi ces personnes se comportent ainsi vis à vis de nous :
La première raison semble évidente, c’est que ces personnes souhaitent asseoir leur pouvoir sur leur entourage. Elles vont même jusqu’à faire des demandes dans le simple but de vérifier leur pouvoir sur les autres. Autrement dit, ce qui compte pour eux, ce n’est pas le résultat de leur demande, mais c’est que les autres y obéissent…
Une autre raison, peut-être plus subtile, c’est que ces personnes cherchent à se rassurer. Parfois elles manquent elles-mêmes de confiance, parfois elles souffrent d’un complexe d’infériorité, et cette emprise sur les autres les rassure. Si elles contrôlent leur environnement, celui-ci devient moins dangereux pour elles… Un peu comme les Tripods de John Christopher…
Comme je l’ai dit, les personnes toxiques jouent sur la Culpabilité, l’Affectif et le Pouvoir.
Ainsi, vos moindres erreurs pourront faire l’objet de reproches. Et la personne toxique pourra même provoquer vos erreurs…
Par exemple elle vous donnera deux ordres incompatibles, où vous ne pourrez pas obéir à l’un sans désobéir à l’autre. On parle de « double-contrainte ». La personne toxique veillera donc à ce que vous vous sentiez souvent coupable.
Comme vous vous sentirez coupable, vous n’oserez pas refuser la demande qu’il vous fera ensuite…
La personne toxique joue aussi sur l’Affectif.
Un bon exemple serait le chantage affectif : « Si tu ne fais pas ce que je veux quand je le veux, alors je t’aimerai moins et quelque chose sera cassé entre nous : nous ne serons plus aussi proches, plus aussi complices, je n’aurai plus la même confiance en toi… »
Enfin la personne toxique utilise son Pouvoir contre vous.
Dans le cadre professionnel, il obtient son pouvoir de son rôle hiérarchique (chef, responsable, patron, etc.)
Dans le couple il peut tirer son pouvoir en gagnant et contrôlant l’argent du foyer…
Ce qui est terrible, c’est que cette façon de faire fonctionne aussi sur les personnes qui, à l’origine, n’ont pas de blocage majeur pour s’affirmer.
Les personnes toxiques réussissent ainsi à nous faire régresser, et à ébranler notre capacité à nous affirmer !
Pour vous en sortir face à ce genre de personnes, je vous conseille de bien observer les mécanismes qu’ils utilisent…
Maintenant que vous connaissez les trois ressorts qu’ils utilisent (Culpabilité, Affectif, Pouvoir) ce sera un peu plus facile pour vous.
L’idée c’est donc de réussir à garder la bonne distance vis à vis d’eux…
Si vous avez l’impression que cette personne vous manipule, vous pouvez faire ce test : « Comment reconnaître un manipulateur ? Faites le test maintenant ! ».
Et si vous cherchez des conseils pour vous libérer d’un manipulateur, c’est par ici : « Comment se libérer d’un manipulateur… »
Et surtout, n’oubliez pas cet article. !
Pour vous aider à vous souvenir de cet article, j’ai créé une fiche récapitulative que vous pourrez conserver et même imprimer.
Téléchargez TOUT DE SUITE la fiche qui résume cet article…
Remplissez ce formulaire, et je vous enverrai le fiche AUSSITÔT PAR E-MAIL :
Dominic écrit :
Après avoir rencontré la personne la plus « Toxique » imaginable sur cette terre et après 3 ans de relation malsaine, ENFIN, je me suis libéré depuis 2 mois. Mieux vaut tard que Jamais 🙂 J’en souffre encore, car elle avait reussi a me retirer toute ma joie de vivre. Je me reconstruit doucement et je recommence a sourire…. a vivre !
C’etait une relation toxique. je n’ai pu vraiment m’en rendre compte qu’en en sortant ! Triste, non ? Pourtant je le savais… au fond de moi, depuis fort longtemps …. Je préférais me fermer les yeux, pour ne pas la perdre. Etrange . Je sais !
Comme rien n’arrive jamais pour rien, voici ce que j’ai retenu et le partage que je peux vous offrir:
– Un début de relation n’est jamais compliqué, il doit être magique.. Fluide….On a tendance a l’oublier, SURTOUT lorsqu’on tombe amoureux.
– Si cette personne change totalement du jour au lendemain, qu’elle passe « d’ attentionné(e) et douce » a » indifférent(e) » et ce , très rapidement: Elle n’etais pas « vraie » dés le départ, ce n’était que dans le seul bût de vous séduire. Rien d’autre. NE VOUS ACCROCHEZ PAS ! SURTOUT PAS ! Ne recherchez pas a retrouver cette personne pour qui vous étes tombé si Amoureus(e) ! Ce n’etait qu’une illusion !
– Ecoutez votre petite voix intérieure, toujours. C’est votre raison qui vous parle. NE L’IGNOREZ JAMAIS … Cette petite voix…. 😉
– Vous méritez autant que vous offrez… L’amour est un partage. Il ne doit pas etre souffrance. Il doit y avoir une notion de partage emotionnel et de discution constructive, au besoin. RIEN NE DOIS ETRE A SENS UNIQUE !
– Certaines personnes utilisent les mensonges, les cachoteries pour mieux vous faire culpabiliser lorsque vous êtes a 2 doigts de les démasquer. C’est leur arme pour se défendre lorsqu’elles se sentent prise au piège.
Si un jour, vous rencontrez ce genre de personne TOXIQUE, écoutez vos proches, vos amis, votre famille. Ils disent vrai. PRENEZ la fuite, même si c’est difficile, FUYEZ ! 🙂
Quoi qu’il en soit :
Souhaitez a cette personne le plus grand des bonheur au monde. Laissez la vie faire le reste….
Cette personne sait ce qu’elle a fait. Elle doit vivre avec le reflet d’elle même dans son propre miroir, surtout lorsqu’elle est seule, confrontée a elle même….. C’est son plus grande drame et sa plus grande souffrance cachée.
La vie se chargera de tout le reste ….. De lui faire comprendre.
Signé : Le KARMA
ted écrit :
Les personnes toxiques sont des êtres qui se sentent mal dans leur peau, et qui pour remédier a leur souffrance, elles blessent,dévalorisent et humilient les autres. Ce sont des personnes égoïstes, envieuses, manipulatrices et de mauvaise foi.elles pensent être supérieurs aux autres( ce qui n’est qu’un fantasme)
Ce sont des personnes qui vous enlèvent toute joie de vivre, et qui ont votre bonheur en horreur.
Elles ne supportent pas vos succès, car cela renforce leur sentiment d’infériorité, qu’elles s’évertuent d’ailleurs a dissimuler. En réalité, les personnes toxiques sont des êtres fragiles et qui ne s’aiment pas.elles s’aiment a travers le regard que les autres portent sur eux.elles ne supportent pas que les autres remarquent leurs défauts, c’est pourquoi ces individus se présentent toujours comme des êtres irréprochables.ces gens sont incapables d’atteindre leurs objectifs sans manipuler les autres, tant ils manquent de confiance en eux. ces individus n’ont pas de pouvoir sur les gens qui s’aiment avec leurs défauts et leurs qualités et qui ont confiance en eux.
ted écrit :
J’ai grandi avec des personnes toxiques, notamment mes parents et mes amis.
Dès mon enfance, mes parents me rabaissaient, en me traitant d’idiot, de faiblard,etc;et ils se moquaient même de mon physique.
paradoxalement, ils me disaient quelques fois que j’étais intelligent,ils admiraient ma manière de m’exprimer et le fait que j’étais cultivé(je lisais beaucoup d’ouvrage, l’encyclopédie,les revues »jeune Afrique » entre autres).
Au quartier comme a l’école, mes amis me brimaient et me frappaient, car j’étais peureux et faibles . ces mauvais traitements avaient également lieu a la maison, et c’était mes grandes soeurs et mes tantes qui le faisaient.Tout le monde se moquait de mon physique, et me méprisait.çà me faisait souffrir.on me comparait sans cesse a l’un de mes cousins.on disait de ce dernier qu’il était plus fort et plus agréable a vivre que moi.c’est a cette époque, que j’ai commencé a avoir une mauvaise image de moi et douter de moi.je me percevais comme une personne faible, sans importance, c’est pourquoi je donnais plus d’importance aux autres qu’a moi- même .j’aimais faire beaucoup de bien aux autres pour être approuvé par ces derniers.
Puis vint ma période d’adolescence.je subissais les mêmes mauvais traitements de la part de mon entourage, mon image négative de moi même se renforçait.je voulais m’affirmer mais mes parents ne me le permettaient point.ma mère voyait des préservatifs dans mon placard, et elle en faisait un drame.je rentrais dans ma quatorzième année, et je commençais a m’intéresser au sexe opposé.ma mère ne voulait pas que j’ai des copines, que j’aille m’amuser avec mes amis, et que je passe mon temps avec ces derniers.elle me disait comment je devais m’habiller et elle voulait toujours que je reste a la maison.j’enviais mes amis qui avait la liberté de sortir s’amuser. j’étais frustré quand ils me racontaient leurs soirées.je me sentais tellement mal dans ma peau, que je commençais a me rebeller, ainsi dans la famille, tout le monde me traitait d’impoli et d’orgueilleux.ma mère m’insultait et me faisait des reproches a tout moment.mes grandes soeurs me traitaient de sale, et se moquaient de moi .il faut ajouter le fait que j’étais le souffre douleur de mes amis du quartier.ils me frappaient, m’humiliaient a chaque fois que j’étais parmi eux.ils me traitaient de faible et profitaient également de moi. j’avais peur d’eux.je me rappelle de l’un d’eux, qui a chaque fois qu’il me voyait m’invitais a me battre, et quand je ne rentrais pas dans son jeu, il me giflait et les autres riaient.je me demandais bien pourquoi ces soit disant amis( avec qui j’avais grandi) se comportaient ainsi.plus tard, je compris qu’ils étaient jaloux de moi, a cause de mes conditions de vie, principalement: j’habitais une grande et belle maison, je mangeais a ma faim, j’apprenais dans de bonnes écoles, et eux c’était l’inverse.
c’est entre 15 et 17 ans, que je commençais a sortir, j’allais dans des concerts, j’allais juste une fois en boite de nuit(a 16 ans),j’avais commencé a boire l’alcool. ma mère ne cessait toujours pas de m’accabler avec ses insultes et ses reproches.au lycée, j’étais la risée des autres, on se moquait de mon physique.ma confiance en moi et mon estime étaient très faibles.je donnais toujours plus d’importance aux autres, car je pensais qu’ils étaient supérieurs a moi.
A l’age de 17 ans, je me consacrai a la vie chrétienne, j’avais arrêté de fréquenter mes amis, de bien m’habiller, d’aller m’amuser, car c’est ce qu’on me demandait a l’église.j’étais devenu un fanatique religieux.j’avoue que j’adhérai au christianisme,d’une part pour remédier a la mauvaise image que j’avais de moi, je voulais que mes parents me voient comme un enfant sage, image qu’ils voulaient que je leur donne avant que je ne devienne chrétien;d’autre part, , j’avais peur de la croyance selon laquelle si « je n’accepte pas jésus comme seigneur et sauveur, j’irai en enfer ». cette croyance a d’ailleurs eu le don de m’empêcher de m’épanouir durant quatre chères années de ma vie.le fait que j’avais changer de vie, plu a certain et d’autres non.mes amis du quartier me traitaient de fou, et se moquaient de moi.d’autres personnes étaient content de mon changement. mes frères et soeurs se moquaient de moi, et me méprisaient davantage. mes parents se montrèrent encore plus hostile.ils me critiquaient, me rabaissaient.mon père alla jusqu’a me traiter d’homosexuel parce que j’avais pas de copine. a l’école, les gens étaient hostile a mon mode de vie. ils disaient que « j’abusais » mais moi je me sentais bien,car j’étais convaincu que j’étais dans le droit chemin.quelques années après je finis par rejeter le christianisme, car je finis par prendre conscience du fait que je m’étais laissé endoctriner.je n’étais pas le maitre de ma vie.je compris que les croyances comme » le retour de jésus sur terre » « le jugement dernier » n’étaient que des fantasmes tout droit sortis de l’imaginaire des hommes.je recommençai alors a vivre ma vie, ce revirement déplu a beaucoup de personnes.dans ma famille, les mêmes qui se moquaient de moi parce que j’étais un chrétien engagé, sont les mêmes qui me reprochaient de n’être plus chrétien et ils se moquaient de moi
Après quatre ans de consécration sincère a la vie chrétienne,mon complexe d’infériorité s’amplifia davantage, mes parents considéraient mes frères et soeurs comme supérieurs a moi, car ces derniers « avaient fait la vie » selon eux, et moi pas. on me considérait comme celui qui ne s’est pas épanoui dans sa jeunesse.au dehors c’était la meme chose, les personnes se sentaient meilleurs que moi du fait que lorsque j’étais chrétien, eux ils s’amusaient,ils avaient une vie épanouie:ils avaient des copines, ils conduisaient les voitures de leur parent, et je me sentais mal .mes parents continuaient a me rabaisser.
quand j’ai obtenu mon baccalauréat, je suis aller poursuivre mes études en Afrique du sud. la bas,je vivais avec l’une de mes grandes soeurs. dès l’enfance, on ne se supportait.et je ne voulais pas habiter avec elle en Afrique du sud, mais mes parents me l’en imposés.ma grande soeur voulait controler ma vie.elle ne voulait pas que je fumes, un jour elle m’a meme menacé de me frapper,devant son petit ami.elle disait aux gens que « malgré mon gros corps, je suis un gamin.j’ n’ai pas l’expérience de la vie. » elle me critiquait devant mon cousin et l’ex copine de mon grand frère.elle leur disait que j’étais un gamin, et elle se moquait de moi quand elle entendait qu’en voulant dragué une fille, cette dernière m’a rejeté. ajoutant le fait, que j’étais dans une bande d’ami qui me méprisait, j’étais leur souffre douleur.ils se moquaient de moi quand j’étais ivre d’alcool après avoir bu moins de bières qu’eux.
je ne fis que 8 mois en Afrique du sud(en 2012), puis je revint au pays.je ne m’entendais plus avec ma grande soeur, et cette dernière n’hésita pas a raconter ma vie a qui voulait l’entendre dans la famille.des propos tels que » ted n’avait pas de copine en Afrique du sud, toutes les filles qu’il draguait le rejetaient » « ted était toujours bourré dans les sorties, et ses amis se moquaient de lui »je finis par haïr ma soeur, au point ou jusqu’aujourd’hui, je suis distant avec elle. par conséquent, j’avais honte de moi, je me sentais minable. la bonne nouvelle, c’est que ma grande soeur eu vent de ma relation amoureuse avec une jolie femme, elle qui me considérait comme un looser, un homme qui n’a pas d’expérience de la vie( expérience des femmes et autres). en revenant a Libreville, j’avais un grand complexe d’infériorité.je n’avais pas de personnalité, je trouvais toujours les autres plus importants que moi.mon chemin vers la libération de cette souffrance intérieure(mon complexe d’infériorité, mon manque d’estime de moi) a commencé quand j’ ai lu le livre d’Eckhart tolle intitulé « Le hasard n’existe pas ». ce livre m’a fait prendre conscience que j’ai de la valeur, et que j’ai le pouvoir de rendre ma vie meilleure.a peine je commençais a avoir de l’estime pour moi, je fis la rencontre de deux manipulateurs. ils remarquèrent rapidement que je manquais de confiance en moi, que j’avais une faible estime de moi. je m’attachai a l’un d’eux, car j’avais le sentiment qu’il me comprenait, et je me sentais valorisé en restant avec lui. ils me donnaient des conseils qui renforçaient le sentiment que j’avais, d’avoir trouvé enfin un allié, quelqu’un qui m’accepte avec mes faiblesses et qui ne va pas en parler a d’autres personnes.(la nous sommes toujours en 2012)
malgré cela, j’avais des doutes sur eux, une petite voix en moi, me disait que ces individus étaient des profiteurs.
En me laissant séduire par l’attitude de ce manipulateur envers moi, j’ai été la victime de ce dernier.il voulait que je sois toujours avec lui,il profitait de moi.je lui donnait nourriture, argent et a boire.et lui, il me donnait presque rien.il me critiquait avec son ami manipulateur, il disait aux gens que j’étais un gamin, que je n’avais pas l’expérience de la vie, que j’étais nul avec les femmes. cette situation ne dura quatre mois, et le cinquième mois il voyagea. c’est alors que je commençai a m’intéresser a la littérature du développement personnel, et c’est a ce moment qu’est réellement venu le déclic.mon comportement avait complètement changé.j’ai commencé a avoir confiance en moi et avoir une bonne estime de moi.je ne me laissais plus marcher dessus.on remarquait chez moi,un franc parler. en grosso modo, j’ai développé une certaine force de caractère; cette nouvelle attitude a engendré le respect de mon entourage.
Malgré cela, j’avoue que je nourris une certaine rancune et une haine, pour tous ceux qui m’ont rabaissé, et frappé durant ces années, bien que je me dis que ces expériences étaient utiles pour mon évolution.que ca ne sert a rien de se considérer comme une victime.
je ressens encore de la haine et de la rancune envers mes parents, et ma grande soeur( celle avec qui j’habitais en Afrique du sud)
Pour mon bonheur, j’espère que j’arriverai a pardonner tout ceux qui m’ont fait du mal
ted écrit :
par rapport a l’oeuvre que j’ai cité précédemment « le hasard n’existe pas »je me suis trompé d’auteur, il s’agit plutôt de Karl Otto Schmidt
Omsinie écrit :
Rémi
J’ai adoré la comparaison avec le CAP des tripods. ADORÉ! Effrayante de réalisme.
On devient complétement dépendant du jugement de cette personne. On module notre raisonnement pour qu’il contrecarre ses attaques. Notre cerveau se bat contre lui même à longueur de journée. On sait ce qu’il faut faire pour le bien de la compagnie et on essaie de trouver un juste milieu entre ses demandes et la bonne chose à faire.
Le beau c’est que quand on ne travaille plus avec elle, elle disparait. Ne reste que mon axe de vie (comme tu le dis) l’essentiel, qui reprend sa limpidité.
Je lui ai trouvé l’adjectif maintenant (tu sais: Mettre des mots sur mes maux) Elle est MEDIOCRE.
Merci
MFR écrit :
Lorsque la première personne toxique est sa propre mère c’est très compliqué car elle vous a conditionné dès le plus jeune âge donc le travail est fastidieux car on se prend en mains sur le tard avec un gros travail sur soi-même et très difficile même après ça de lui faire face en plus ça nous a transformé en proie à d’autres manipulateurs.. très dur
Zoura écrit :
Bjr, vous avez 100% je vis actuellement avec un pervers narcissique et de plus manipulateur. C’est un calvaire au quotidien mais je n’arrive pas à m’en échapper et c’est terrible ma santé en prend un gros coup. A chaque fois que je pense m’en être libérée, il reprend le dessus. J’ai même pensé au suicide pour en échapper.