Victime d'un manipulateur ?
Comment reconnaître un manipulateur : Faites le test maintenant !
Dans cet article je vous donne 3 façons de faire naître chez vous des croyances aidantes… celles qui vont vous aider à avancer dans votre vie…
En effet, dans mon dernier article je vous expliquais le poids de nos croyances dans notre vie. Les croyances, ce sont ces idées que nous avons au plus profond de nous…
Ce sont ces idées qui (autrefois) sont entrées discrètement dans notre tête, sans que nous ayons vraiment pris le temps d’y réfléchir… mais qui aujourd’hui prennent le dessus dans nos décisions, et plus généralement sur notre vie…
Du coup, nous nous retrouvons ballottés par le monde extérieur… Nous nous retrouvons ballottés par notre environnement, par notre entourage, par nos expériences, etc.
Et c’est à cause de ces croyances qu’aujourd’hui nous nous interdisons (involontairement) des tas de choses…
Par exemple quand on nous propose une opportunité, nous y réfléchissons deux fois au lieu de foncer… Pourquoi ?
Parce que nous avons peur… Parce que nous nous méfions… Nous nous disons « Ce n’est pas pour moi… », « C’est trop beau pour être vrai… », « Il y a un truc, c’est pas possible… », « Je ne peux pas y croire… », « Je ne le mérite pas… ».
Et alors que faisons-nous ? Nous refusons de sauter sur cette opportunité… Nous préférons rester dans notre confort quotidien… Et nous trouvons des excuses et des prétextes pour ne pas agir… « De toute façon ça ne pouvait pas marcher… »
Les croyances et l’affirmation de soi sont liées entre elles…
Par exemple, savez-vous que les gens qui ont du mal à s’affirmer sont victimes (pour la plupart) des 10 mêmes croyances limitatives ? (cliquez ici pour en savoir plus à ce sujet : nos 10 croyances non assertives)
C’est souvent (toujours?) à cause de ces 10 mêmes croyances limitatives que nous n’osons pas dire NON… et que notre vie ne ressemble pas à celle dont nous rêvons…
Par exemple Patricia a accepté d’épouser José parce qu’il le lui a demandé, parce que « ça ne la dérangeait pas… » et qu’ « il faut bien se marier un jour ou l’autre de toute façon… ».
Carlos a accepté d’avoir un enfant avec Claire parce qu’ « il avait l’âge d’avoir un enfant, et qu’il faut bien s’y mettre un jour ou l’autre… »
Dans ces deux exemples, les choix ont été faits par défaut… pour se conformer à la volonté des autres, et de l’environnement…
Pourtant, est-ce bien cette vie que voulait Patricia au fond d’elle ? Est-ce bien cette vie que voulait Carlos ? Patricia et Carlos, n’auraient-ils pas préféré attendre, ou s’engager avec un autre partenaire ?
Combien de personnes sur terre veulent quelque chose très fortement, mais ne l’obtiennent pas ? Pourquoi ça ne marche pas pour ces personnes ?
Napoleon Hill nous en donne une raison :
« Il y a une différence entre vouloir une chose et être prêt à la recevoir. »
Voilà une phrase bien juste… Souvent nous voulons quelque chose mais, au fond de nous, une autre chose nous bloque… Ce qui nous bloque, c’est un ensemble de croyances…
Et nous ne serons pas prêts à accueillir notre rêve tant que nous aurons ces croyances au fond de nous….
Nous voulons faire le tour du monde… Mais nous CROYONS qu’il faut être riche pour cela…
Nous voulons être riche… Mais nous CROYONS que l’argent c’est sale…
A cause de nos croyances, nous laissons tomber les opportunités qui s’offrent à nous…
A cause de nos croyances, nous nous interdisons de provoquer ces opportunités…
Alexander Graham Bell a dit :
« Parfois, on regarde si longtemps une porte se refermer, qu’on arrive trop tard pour celle qui s’était ouverte à côté. »
Et Milton Berle a dit :
« Si la chance ne frappe pas à ta porte, construis une porte. »
Construire une porte, voilà où je veux en venir dans cet article…
Dans la suite de cet article, je vais donc vous donner 3 façons de construire une porte…
En effet, si je continue à utiliser cette métaphore de la porte, je pourrais comparer nos croyances limitatives aux murs d’une cage…
Notre esprit est enfermé dans cet cage, et nos croyances nous y retiennent… nous ne pouvons pas nous échapper de cette cage…
Et nous vivons notre vie emprisonnés dans ces croyances…
Nous rêvons de ce qu’il y a derrière les murs de cette cage… Nous rêvons de cette liberté que nous pourrions connaître… Nous rêvons de la réussite… Nous rêvons du succès…
Nous voudrions quitter notre région pour une région plus ensoleillée ; nous voudrions un métier qui nous plaise plus ; nous voudrions un compagnon plus affectueux… Mais jamais nous ne nous échappons de cette cage…
J’avais un cochon d’inde il y a quelques années… Ce cochon d’inde se sentait bien dans sa cage. Il refusait d’en sortir. Je laissais la porte ouverte tout le temps, jour et nuit, quand j’étais là et quand j’étais absent. Jamais il ne sortait ! Quand je le posais hors de sa cage afin qu’il fasse un peu d’exercice en marchant, il se dirigeait craintivement vers sa cage et y entrait… pour ne plus jamais en ressortir…
Ensuite j’eus un deuxième cochon d’inde. Le premier « éduqua » le second. Tant et si bien que le second cochon d’inde ne sortait jamais de la cage, lui non plus… Et lui aussi revenait dans la cage quand on l’en sortait…
Vous voyez, je crois que c’est une illustration concrète et physique de ce que nous sommes nombreux à vivre dans notre propre tête.
Notre entourage, et notamment nos parents, nous ont enfermé dans une cage mentale pendant notre enfance. Cette cage, nous l’appelons éducation. Certaines parois sont nécessaires, car elles nous préservent de quelques précipices…
Le problème, c’est que d’autres parois nous empêchent d’avancer alors qu’elles pourraient être démolies, ce qui nous ouvrirait de nouveaux horizons… Et parmi ces nouveaux horizons, il y a la vie que nous voulons et méritons…
D’ailleurs, ces parois sont souvent truffées de portes. Mais nous n’osons pas nous y engager. Nous croyons que ces portes « ne sont pas pour nous »…
Alors je vous pose la question :
Si vous étiez physiquement enfermé dans une cage, que feriez-vous ? Je suppose vous essayeriez de forcer les barreaux… Ou que vous passeriez par la porte grande ouverte…
Alors pourquoi ne le faites-vous pas aussi pour la « cage mentale » dans laquelle votre esprit est enfermé depuis votre enfance ? Comme vous, j’ai longtemps été enfermé dans cette cage, et aujourd’hui je m’efforce de lui créer de nouvelles ouvertures… pour aller vers là où je souhaite aller…
Suivez-moi, je vous montre le chemin…
Croyances aidantes : les créer à partir de nos résultats antérieurs…
La première façon de faire, c’est de regarder nos résultats antérieurs…
Qu’avons-nous déjà réussi dans notre vie ? Qu’avons-nous déjà réussi au moins UNE FOIS ?
Dites-vous ensuite que si vous avez réussi UNE fois, c’est que vous en êtes capable… et même si vous devez réessayer 1000 fois pour réussir une nouvelle fois…
Si vous avez déjà réussi UNE fois à lancer une balle dans un panier de basket, c’est que vous êtes capable de le refaire. Essayez encore une fois, deux fois, dix fois, cent fois ou mille fois… Forcément, vous finirez par y arriver une deuxième fois. Et la troisième fois ce sera plus rapide, parce que vous aurez appris des choses entre temps…
Vous voulez réussir à dire NON à quelqu’un ? Alors rappelez-vous quand vous y êtes déjà arrivé… Ça s’est forcément déjà produit… Donc vous en êtes capable…
Souvenez-vous donc que vous êtes capable de dire NON… Et maintenant que vous savez en être capable, allez-y ! Recommencez ! Peu importe que vous échouiez… Réessayez… VRAIMENT ! Vous en êtes capable ! Et vous le savez !
Anthony Robbins dit à ce sujet :
« Croire qu’on est capable de faire une chose devient une assurance de succès. »
Cette première technique vous permet de générer chez vous de nouvelles croyances, qu’on appelle des croyances aidantes ; vous vous dites alors : « Je crois que j’en suis capable. », ou plutôt « Je SAIS que j’en suis capable. »
C’est la première façon de créer une porte à notre cage…
La deuxième façon, c’est de nous appuyer sur nos connaissances…
Croyances aidantes : les créer à partir de nouvelles connaissances…
A partir de notre expérience passée, nous avons déjà acquis certaines connaissances.
Mais l’idée ici c’est de développer nos connaissances, et c’est surtout d’aller VERS LES CONNAISSANCES QUI NOUS INTÉRESSENT.
C’est possible à travers la lecture ou les vidéos… C’est possible en écoutant les autres personnes…
Quand nous écoutons des paroles inspirantes, nous nous sentons nous-mêmes inspirés.
Quand nous découvrons le récit de personnes qui ont réussi, nous devenons un peu plus sûrs de nous-mêmes… Nous nous disons qu’il n’y a pas de barrières à notre réussite… sauf celles que nous nous mettons…
Découvrez donc le monde à travers les yeux de personnes qui ont connu le succès, ou qui le connaissant aujourd’hui encore.
Ces connaissances vont faire naître chez vous un ensemble de croyances et de certitudes. Il suffit simplement d’orienter ces connaissances de façon à ce que ces nouvelles croyances vous aident…
Mieux vaut être certain de réussir que certain d’échouer, non ?
Enfin j’aimerais partager avec vous une troisième piste, celle de la visualisation…
Croyances aidantes : les créer à partir de la visualisation, et de l’expérience anticipée des résultats…
L’idée ici, c’est de créer dans notre esprit l’expérience que nous voulons voir se réaliser…
Fermez les yeux, et imaginez-vous en train de vivre le succès que vous souhaitez.
Vous rêvez de dire non à ce manipulateur qui vous tourmente ? Alors imaginez-vous en train de lui dire non sans plier… et ressentez ce bien-être qui vous envahit parce que vous vous êtes affirmé sans vous sentir coupable…
La première fois que j’ai entendu parler de cette technique, c’est par un ami qui avait gagné une compétition internationale quelques années auparavant…
Dans quelle discipline sportive ? Ce n’est pas ça qui est important…
Ce qui est important, c’est de comprendre comment cet ami s’était préparé à la compétition : pendant les mois qui ont précédé cette compétition, il a pris quelques minutes chaque jour pour « méditer ». Et ce qu’il faisait alors, c’est qu’il s’imaginait en train de remporter chacun de ses matchs, puis de remporter la compétition.
Cet exercice lui a permis de développer sa confiance. Il a développé ainsi son assurance. Au fond de lui, avant la compétition, il savait déjà qu’il allait remporter celle-ci…
Et en effet il finit premier devant le mexicain qui était attendu sur la première marche par (presque) tout le monde…
Cette troisième façon de faire, on l’appelle l’« expérience anticipée des résultats ».
Alors aujourd’hui, c’est à vous d’agir dans ce sens.
Si vous voulez dire non, rappelez-vous vos succès précédents.
Si vous voulez vous exprimer devant un groupe de personnes, fermez les yeux et imaginez-vous en train de réussir.
Si vous souhaitez développer vos connaissances sur l’affirmation de soi, lisez mes autres articles. Et commencez pas regarder cette vidéo sur nos 10 croyances non assertives.
Dans la fiche ci-dessous vous trouverez un exercice rapide (2 min) pour vous aider à vous débarrasser de vos croyances limitatives en général.
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